Islande

Lorsque j’étais adolescente, j’étais fascinée par la chanteuse Bjork. Bourrée de talent, unique en son genre, cette artiste accomplie aux multiples facettes musicales m’a non seulement donné l’envie de danser, mais elle a aussi piqué ma curiosité avec son pays natal : l’Islande.

À travers son histoire, ses impressionnants geysers, son paysage volcanique, ses espaces verts, ses  piscines naturelles, ses spas et ses sources chaudes, la terre de glace me semblait si lointaine…

Hier matin, j’ai reçu un communiqué à l’agence. L’Islande sera désormais accessible et à cinq heures de vol du sol québécois à partir du 19 mai 2016.  Jusqu’au 8 novembre 2016, la compagnie aérienne islandaise Icelandair proposera quatre vols directs par semaine. La ligne aérienne opère actuellement à Halifax, Toronto, Edmonton et Vancouver. Montréal sera donc sa prochaine ville canadienne.

Et oui, il sera bientôt possible de s’envoler de l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau pour se rendre à l’aéroport international Keflavik (le principal aéroport d’Islande) situé à 50 km de Reykjavik, la plus grande ville et capitale du pays.

Cette nouvelle représente aussi une excellente opportunité d’élargir les horizons vers les villes scandinaves comme Copenhague et Stockholm.  En effet, les voyageurs pourront bénéficier des correspondances plus rapides en passant par l’aéroport international Keflavik. De plus, Icelandair est le seul transporteur qui permet aux voyageurs un arrêt pour une durée maximale de 7 jours sans aucun frais supplémentaire. C’est un très bel avantage pour tous les voyageurs qui désirent avoir un pied-à-terre en Islande avant de repartir à la destination convoitée. Je me réjouis de cette éventualité dans l’industrie du voyage et c’est la raison pour laquelle  je tiens à vous le partager aujourd’hui.